Argent L'Argent peut Acheter une maison..
Mais pas un Foyer.. ?
Il peut Acheter un Lit..
Mais pas le Sommeil.. ?
Il peut Acheter une Horloge..
Mais pas le Temps.. ?
Il peut Acheter un livre..
Mais pas la Connaissance.. ?
Il peut Acheter une Position..
Mais pas le Respect.. ?
Il peut Payer le Médecin..
Mais pas la Santé.. ?
Il peut Acheter le Sang..
Mais pas la vie
Une banque vous ouvre un compte de 86 400 euros.
Simplement, il y a deux règles à respecter.
La première règle est que tout ce que vous n'avez pas dépensé dans la journée,
Vous serez enlevé le soir.
Vous ne pouvez que le dépenser, mais chaque matin au réveil.
La banque vous ré ouvre un nouveau compte, avec à nouveau 86 400 euros
Pour la journée. Deuxième règle banque peut interrompre ce "jeu."
Sans préavis, à n'importe quel moment elle peut vous dire que c'est fini.
Qu'elle ferme le compte et qu'il n'y en aura pas d'autre.
Que feriez-vous en sorte d'utiliser chaque euro pour apporter du bonheur.
Dans votre vie et dans celle de ceux qui vous entourent.
Cette banque magique, nous l'avons tous, c'est le temps ?
Chaque matin, au réveil, nous sommes créditées de 86 400 secondes
De vie pour la journée, et lorsque nous nous endormons le soir,
Il n'y a pas de regard. Ce qui n'a pas été vécu dans la journée est perdu.
Hier vient de passer. Chaque matin, cette magie recommence.
Nous jouons avec cette règle incontournable.
La banque peut fermer notre compte à n'importe quel moment.
Sans aucun préavis à tout moment, la vie peut s'arrêter !
Héritiers, ce que vous devez savoir sur la succession
Lorsque survient le décès d’un proche et en l’absence de testament,
Ce sont les règles de succession déterminées dans le Code civil
Qui réglementent la part qui revient à chaque héritier.
Classement des héritiers Les héritiers
Pouvant prétendre à la succession sont,
Dans l’ordre de priorité :
- L’époux survivant - Les enfants et leurs descendants
- Les parents, frères, sœurs et leurs descendants -
Les autres ascendants (grands-parents) - Les autres collatéraux
Et leurs descendants (cousins, tantes, oncles…)
L’époux survivant hérite obligatoirement des biens de son conjoint,
Mais sa part est déterminée par le régime qui liait le couple.
Ainsi, en fonction de leur régime matrimonial ou de l’existence
D’une donation entre époux, le conjoint survivant perçoit une part
Plus ou moins importante de l’héritage.
Les enfants sont également prioritaires, même si le défunt était marié.
Dans ce cas, l’héritage est partagé et le conjoint survivant
Peut demander à conserver l’usufruit sur le patrimoine perçu
(les enfants se partageront alors la nue-propriété.).
Attention !
Les héritiers les plus proches excluent les catégories suivantes
De la succession (si le défunt avait des enfants, alors ses parents,
Frères et sœurs n'hériteront pas). À noter également que les enfants
D’une personne décédée peuvent recueillir la part d’héritage
De leur parent grâce à la règle de la représentation.
Les conditions pour hériter pour pouvoir hériter,
Vous devez être vivant à la date du décès, être né viable
Et ne pas avoir été exclu de la succession
Pour indignité. Par ailleurs, vous devez accepter la succession
Pour que celle-ci soit effective. Si vous acceptez la succession,
Alors vous percevrez votre héritage, mais serez également
Dans l’obligation de payer les dettes du défunt.
Vous pouvez également opter pour une acceptation à concurrence
De l’actif net ce qui signifie que les dettes à payer ne pourront
Pas dépasser le montant des biens du défunt.
Enfin, vous pouvez choisir de renoncer à cet héritage et il sera considéré
Que vous n’avez jamais hérité (en l’absence d’autre héritier,
Vous aurez jusqu’à 10 ans pour revenir sur votre décision.).
Les frais de succession Pour chaque succession, l'État prélève une part
De la valeur de l’actif net de l’héritage qui correspond au droit de succession.
Cette somme est déterminée en fonction de la part et du lien
De chaque héritier avec le défunt. La taxation sera alors plus élevée
Si les héritiers ne sont pas en ligne directe (enfants)
Et des abattements sont possibles sous certaines conditions.
Consultez nos avocats en droit de la famille, des personnes
Et de leur patrimoine, ou plus particulièrement en droit de la succession
Afin de vous faire conseiller dans vos démarches.
Est-il possible de déshériter un de ses enfants ?
En cas de conflit familial, un parent peut penser à déshériter un ou plusieurs
De ses enfants. Mais est-ce seulement possible
D'exclure un de ses enfants de la succession ?
Explications.
La particularité de la législation française
En France, les enfants sont protégés par la notion de réserve héréditaire.
Cela veut dire qu'il est légalement impossible de totalement déshériter
Un descendant direct.
Cependant, il est possible de favoriser un enfant par rapport à un autre
En lui léguant une part plus importante.
La notion de réserve héréditaire cette réserve est quantifiable et varie
Selon le nombre d'enfants au sein du foyer.
Elle correspond :
- A la moitié des biens s'il y a un enfant
- Aux 2/3 des biens en présence de 2 enfants
- Les 3/4 des biens s'il y a plus de 3 enfants
Ainsi, s'il y a deux enfants, 2/3 du patrimoine
Doit leur revenir obligatoirement,
Vous pouvez disposer du tiers restant librement.
Cette partie s'appelle la quotité disponible. Il est tout à fait possible
De léguer cette quotité à un des enfants, rompant ainsi l'égalité
Entre les enfants, mais cela reste légal.
Un enfant, peut-il être exclu d'une succession ? Oui.
Cela peut arriver s'il commet une faute grave à l'égard du parent défunt.
C'est le cas s'il est à l'origine de sa mort ou s'il a essayé d'attenter à sa vie
Par exemple. Il s'agit de l'indignité successorale.
Cette indignité peut être levée si le parent en question,
Après avoir eu connaissance des faits s'il est toujours vivant,
A formulé sa volonté de le faire dans son testament.
Que se passe-t-il si, le défunt n'habitait plus en France ?
Les règles que nous avons évoquées
Ne sont valables que pour des personnes
Ayant leur résidence régulière en France.
Depuis le 17 août 2015, en vertu de la nouvelle réglementation européenne,
Il est possible de prévoir la loi applicable à sa succession.
Cette loi est celle du pays dans lequel le défunt avait sa résidence habituelle
Au moment de son décès ou celle de la nationalité du défunt
S'il l'avait désignée avant son décès comme loi applicable au règlement
Des successions : c'est le professio juris.
Ainsi, des parents résidant dans un pays dans lequel
Les règles successorales
Sont moins strictes qu'en France pourront modifier la répartition
De leurs actifs entre leurs enfants…
Où totalement exclure un ou plusieurs de leurs enfants de cette succession.
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