Je voudrais prendre le bon chemin,
Ou je pourrais te tendre ma main.
Guide-moi et conduis moi dans le chemin de la foi.
Souffrir, gémir, jusqu'à en mourir.
Je ferais pour toi mon chemin de croix.
Toi, mon Maître, toi ma vie,
N'es-tu pas mort pour nous ici.
Sous les coups et les blessures, les mots et les injures,
Tu as été silence et tu n’as rien dit.
Par la prière, aujourd'hui, tu m'as beaucoup appris
À être ce que je suis.
Aimer les gens fragiles détruits
Souvent par les mots inutiles.
Essayant de comprendre
Celui qui pleure du mal ou de la souffrance
Q 'il enferme dans son âme.
Réconforté le malade, par un baiser,
Que doucement sur son front l'on dépose
Pour ne pas le réveiller.
Connaître l'indulgence et savoir pardonner
À celui qui a été condamné.
Redonner un doux regard et redonner espoir
Au mendiant au clochard.
Devant les pleurs d'un enfant
Un bonbon, un jouet, on lui tend
On lui donne les câlins d'une maman.
Sourire aux moqueurs,
À celui qui n'a pas de cœur.
Faire, savoir, reconnaître la vérité
Et chasser la méchanceté.
Regarde toi, tu es peut-être comme moi
Sois toujours fière de ta bonté
Sois fière de ce que tu peux donner.
2(9 mars 2004)
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