Les chasseurs amérindiens ont prêté au loup
Plusieurs qualités positives :
L’intelligence, le courage et l’habilité.
Même si ces sociétés étaient dépendantes de la présence
De gibier et étaient ainsi en compétition avec le loup,
Elles ne montraient aucune animosité envers cette espèce.
Le loup n’était ni « mauvais » ni « bon ».
Il « était » simplement, avec toutes ses qualités.
Le loup joue donc un rôle important dans la vie tribale,
Cérémonielle et individuelle, en étant un emblème
De clan pour au moins trente nations,
Dont les Hurons et les Indiens de la côte ouest du Pacifique.
Dans plusieurs cas, le loup devenait un auxiliaire
Du Dieu créateur.
Pour les Algonquins, le dieu « Michael » employa
Des loups en guise de chiens pour remettre
L’ordre sur Terre après que le déluge eut.
Submerger le monde.
Les Inuits honoraient le loup plus que tout autre animal.
Chez les Montagnais du Québec, on le nommait Maika.
Selon des études Étymologiques, ce terme peut vouloir dire
« Celui qui déchiquette », ou encore « l’excrément osseux »,
En référence aux fumées de l’animal sous lequel
Les poils entourent les éléments durs ou osseux.
Les Montagnais reconnaissaient déjà, bien avant les scientifiques,
l’organisation sociale de la bande : elle était composée d’un chef,
D’un éclaireur, de chasseurs et de loups plus âgés.
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